Un peu d'exercice, ou presque [PV. Hiromi Kirishima]

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Debout e bon matin, la jeune Mayu avait quitté son lit dès l'aurore afin de profiter de la fraicheur matinal. Elle avait mis exprêt son réveil pour ne pas manquer cela. A peine avait-elle mis un pied par terre qu'elle s'était habillée en toute vitesse et sortit de la chambre. C'était à croire que sa chambre avait pris feu, ce qui était loin le coin cas. En fait, le pourquoi du comment était juste qu'elle ne prenait jamais trois heures pour se réveiller rien de plus. Elle n'aimait pas perdre son temps sous la couette, ou plutôt, elle avait appris à ne plus le perdre. Elle avait beaucoup affaire depuis trois ans, alors se lever tôt n'était une chose très difficilce pour elle.
Mettant ses chaussure de sport dans le couloir, pour ne pas plus déranger son colocataire qui dormait encore, elle se dirigea ensuite dehors. L'air être frais, comme elle l'avait prédis. Le vent était doux et la tempréature légèrement basse. Le ciel était clair, sans nuage à l'horizon : cela allait être une belle journée aujourd'hui alors autant bien la commencer. D'un geste vif, la demoiselle s'attacha les cheveux en une queue de cheval puis inspira un grand coup avant de se relacher complètement. Elle fit quelques étirrements ainsi que quelques échauffements et la voila qu'elle commença à courir.

Elle ne savait pas vraiment où aller, mais une chose était sûre : elle resterait dans l'anceinte de l'établissement. cela n'était pas le moment de se perdre et d'arriver ensuite en retard en cour. Non, cela ne se faisait pas, surtout pour elle. Non pas qu'elle avait peur pour son image au près de ses camarades de classes, c'est juste qu'elle ne voulait pas se faire remarquer. Elle avait déjà tant de peine à marcher tranquillement dans les couloirs sans qu'on la regarde de haut en bas en entendant des questions du genre "tu crois que c'est la vraie ?" ou juste entendre des sons ressemblant à un cri étouffé ou à son prénom. En tout cas, chose relaxante : il n'y avait pas âme qui vivent à cette heure-ci, sauf peut-être les cuisiniers préparant à manger pour tous les pensionnaires.
Après avoir fait le tour de l'école et s'être attardée dans le squarre, Mayuchito se donna la liberter de prendre une pause. Elle se dirigea vers un banc sur lequel elle s'assit. Elle posa ses bras sur ses genoux et sa tête entre ses mains. Elle respirait. Son souffle était légèrement sacadé, bien qu'il prouvait qu'elle pouvait encore faire de l'exercice. Mais pour le moment, il était tout de même bon pour reprendre des forces. Au bout e plusieurs minutes, elle se releva et fit quelques étirrements à nouveau, en se faisant craquer quelques parties de son corps. Puis elle chercha quelque chose du regard avant de désespérer de ne rien trouver au bout de quelques secondes :

"... Zut, j'ai oublié une bouteille d'eau ..."

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Il était très tôt ce matin que mon réveil sonna, je pris alors mon portable et enleva l'alarme. Je me mis ensuite à regarder le plafond comme chaque matin le temps de bien me réveiller sous le son d'une musique bien douce provenant de mon portable puis je me leva pour me diriger à la salle de bain. J'en ressortis quelques minutes plus tard avec le visage lavé, les dents blanches ainsi qu'avec un T-shirt et un short Everlast puis je balança mes affaires sur mon lit et sortit de ma chambre.

Je marchais lentement dans les couloirs le temps de mettre mes écouteurs et d'allumer mon mp3 puis j'alla acheter une bouteille d'eau dans le distributeur avant de sortir de l'établissement.Je me dirigea toujours tranquillement vers le terrain de sport en regardant tranquillement le paysage, il n'y avait personne mais bon je m'en fichais pas mal et une fois arrivé sur le terrain je me mis à m'étirer pendant cinq bonne minutes avant de me mettre à faire mon footing matinal.

J'avais analyser et crée mon propre parcours qui faisait à un peu plus que la superficie de l'ensemble sportif du lycée soit 45mn de course. Avec ma musique et mon endurance, cette distance était pas énormément fatiguant et spécialement idéal avant d'aller en cours. En effet, une distance comme celle-ci me fatiguait pas tellement, j'en avais l'habitude puisque pour la boxe anglaise il faut être beaucoup endurant et que le footing le fait énormément travailler avec un traçage des abdominaux en plus. Mon footing qui reste le plus crevant était celui du dimanche matin, où je me fixais 1h30-2h avec un rythme plus rapide que celui là. Bref, cela faisait 40min que je courrais et j'allais bientôt arriver au point final toujours à fond dans ma musique motivante, en faites c'était une playlist de rap américain mais bon...

J'étais arrivé au point final, cela faisait alors 45min que je courrais alors pour finir je me mis à marcher jusqu'au moment ou je vis un banc alors sans trop regarder je m'y dirigea tranquillement en reprenant calmement mon souffle. En étant sur le point d'arriver je remarqua une fille plutôt belle même en survêt qui s'écria qu'elle avait oubliée une bouteille d'eau, vu qu'elle avait l'air plutôt contrarié je lui tendis ma bouteille en souriant agréablement.

"Salut, tiens ma bouteille, l'eau est fraîche."

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Vraiment, elle était cruche. Elle aurait dû y penser avant de s'élencer dans sa course : toujours prendre une bouteille d'eau avec soit, surtout par grande chaleur, bien que ce n'était pas la canicule à cette heure-ci du matin. Elle soupirait. C'est à ce même moment qu'une voie se fit entendre derrière elle. Sur le coup, elle ne fit pas vraiment attention au son de cette voie, juste qu'elle l'avait assez surprise pour la faire un minimum sursauté, mais sans qu'elle ne dégage de l'électricité. Ouf et heureusement, autrement elle en aurait été désolé pour cette personne qui ne faisait que lui apporter son aide.
La demoiselle se retourna et vit alors un jeune homme. Il devait avoir à peu près le même âge qu'elle, bien qu'il était plus grand qu'elle. Remarquez, cela n'était pas bien difficile ... Ce garçon lui proposait sa bouteille d'eau. Non, il ne devait pas. C'est vrai qu'elle serait très heureuse de plus voler quelques gorgées de sa boisson, mais tout de même, cela était impoli. Et puis, elle n'avait qu'à être moins tête en l'air, sans parler du baiser indirect qu'il pouvait y avoir si jamais il buvrait après elle. Non, elle ne voulait pas y penser. Et puis, qu'est-ce que c'était qu'un baiser indirect ? Rien du tout, tout le mone en avait fait dans sa vie, même elle. Combien de fois elle avait bu derrière une personne lors d'un shooting ? En tout cas assez pour ne plus se souvenir de tous.
Et puis zut ! Elle avait soif, elle avait besoin de réhidrater et ce n'est pas pour autant qu'elle allait s'empêcher de boire. Elle n'avait besoin de s'en faire pour les microbes vu qu'elle serait la première à boire. Et lui n'avait pas à s'inquiéter non plus car elle n'avait rien, sauf son pouvoir. Mais cela l'étonnerait qu'elle charge l'eau en électricité.

"Je vous remercie, dit-elle en prenant la bouteille."

Mayuchito se batta penant presqu'une minute entière pour ouvrir la bouteille. Elle avait horreur d'ouvrir ce genre e chose, ou même les bocaux. Elle n'avait jamais assez e forte pour y arriver, ou du moins, pas du premier coup. Une fois ouverte, elle but plusieurs longues gorgée, tout en faisant attention ne pas trop faire descendre le liquide. Une fois désaltérée, une reboucha la bouteille. Mais avant e la rendre à son propriétaire, elle se passe le plastique froid au niveau de sa poitrine ainsi que sur son cou et ses joues. Cela lui faisait du bien.

"Je te remercie, ça m'a vraiment fait du bien, dit-elle en déposant la bouteille sur le banc."

Elle avait e la chance. Elle n'aurait jamais cru tomber sur une personne ici à cette heure-ci. Enfin, c'était plutôt lui qui était arrivé au bon moment car autrement elle serait rentrée sans même avoir pu boire quoi que ce soit. Ou plutôt, elle n'aurait pas pu se rafraichir. Il était un peu comme ... comme un sorte d'ange gardien, sauf qu'il n'avait pas les ailes et qu'il était en tenue de sport.

"Au fait, puis-je connaître votre nom ? Il est rare de voir une personne se lever aussi tôt pour courir. Peut-être que plus tard on pourrait faire le même parcourt tout les deux."

Oui pourquoi pas ? Cela passerait peut-être plus vite que de courir à deux que toute seule. Et puis, il devait certainement connaître plus adéquates ou tout simplement d'autres paysages pour se éfouler que seulement le squarre et le terrain d'entrainement.

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La jeune fille mit quelques secondes à se retourner avec un air surpris, cela devait sans doute être dû au faites qu'il n'y avait jamais personne dans ce coin là à cette heure-ci mais il y'avait aussi peut-être le fait que je lui tende ma bouteille vu qu'elle mit encore quelques secondes à la prendre puis me remercier. Elle n'était pas très âgée, elle devait sans doute être plus jeune que moi d'un an mais elle avait un physique plutôt bien entretenu et je la regardais un moment de haut en bas, elle était mignonne.

Bref, elle mit longtemps à ouvrir la bouteille et je la regardais avec une légère grimace car j'ai trouvé ça bizarre vu que c'était la seule fille que je voyais autant galérer pour ouvrir une bouteille d'eau. Après avoir bu quelques gorgées elle passa la bouteille d'eau sur sa tête, son cou et sa poitrine pour se rafraichir et je ne vous cache pas que je l'ai regardé faire attentivement. Personnellement, je trouvais qu'il ne faisait pas si chaud que ça et le vent rafraichissait l'atmosphère agréable et tiède. Bref, elle me remercia en posant la bouteille sur le banc, je m'avança légèrement pour reprendre la bouteille toujours en la regardant je bu une gorgée puis je pris la parole d'une voix douce.

"Mais je t'en prie, t'avais vraiment l'air embêté."

Ensuite la jeune fille reprit le fil de la conversation en voulant savoir mon nom, ensuite elle mentionna qu'on pourrait faire le parcours en semble peut-être plus tard. Mais est ce qu'elle est sérieuse là? Je dois pas faire si vieux que ça pour être vouvoyer, et puis d'abord elle m'a tutoyer en première, elle est bizarre et sans le vouloir je fronça mon sourcil droit en reculant légèrement la tête, une de mes expressions facial qui montrait cette pensée là. Bref, ce qui en est du parcours, si elle arrive à tenir 45min sa me dérangerais pas, pour moi cette durée c'est rien mais vu que c'est une fille sa peut-être assez poussé. Mais bon, je bu une autre gorgée et garda la bouteille dans ma main pour répondre toujours d'une voix douce avec un petit sourire.

"Appelle-moi Hiromi, et effectivement il est rare de trouver une personne aussi matinal que sois même. Et toi tu t'appelles?"

Ce n'était pas parce qu'elle me vouvoyait que j'allais en faire de même, autant je le fais pour des adultes mais pour une personne de mon âge c'est vraiment naze. Je continuais de la regarder toujours avec un doux sourire, mon côté curieux faisait surface et j'avais envie d'en savoir un peu plus sur cette fille, alors je repris la conversation toujours avec ma douce voix.

"Oui peut-être qu'on pourra faire le même parcours, si t'arrives à tenir 45min. Mais sinon, sa fait longtemps que tu fais des footing le matin? C'est bien la première fois que je te vois..."

Je continuais de lui sourire en attendant patiemment sa réponse.

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Elle, embêtée ?! Oui assez souvent je dois vous l'avouer. Mayuchito est le genre de fille qui rougit pour un rien et qui a facilement honte d'elle, ce qui n'est pas très pratique dans son travail, je vous l'accorde. Bien que de ce côté là, elle n'a jamais eu le moindre soucis. Au contraire, peut-être est-e le fait qu'elle doit jouer la comédie pour rentrer dans le personnage que le client aimerait voir dans sa publicité ? Oui, peut-être bien.

"'C'est vrai ? Arff zut ! Je voulais pas que ce soit si évident de le voir. Et puis, si tu n'aurais pas été là, je serais aller boire un coup avant les cours."

Remarquez, elle aurait bien été obligée. Et puis, elle devait tout de même passer par sa chambre afin de sa laver un minimum. Sentir la transpiration, ce n'était pas son fort.
La demoiselle s'assit sur le banc puis s'étiira longuement avant de laisser ses bras tomber le long de son corps. Puis elle regarda le garçon, attendant simplement qu'il réponde à ses questions. Etait-il timide pour prendre son temps pour lui répondre ? peut-être pas, il avait certainement besoin de boir un coup lui aussi, histoire de se réhidrater ou même de se raraichir. Une fois désaltéré, le jeune homme lui dit qu'il s'appelait Hiromi. Un nom un peu féminin aux yeux de la jeune fille. Mais bon, on ne choisit pas son prénom. Elle même avait un prénom masculin que demanda l'adolescent.

"Moi c'est Mayuchito, mais appelle moi Mayu, 'est plus simple, plus rapide et surtout plus féminin que Mayuchito."

Et puis, c'était bien plus facile à retenir. De plus, comme elle l'avait dit, on associait plus le nom Mayuchito à un garçon qu'à une fille. Puis le jeune approuva le fait de bien vouloir courrir avec elle la matin. Génail ! Ainsi elle se sentirait moins seule, de plus, cela la motiverait un peu plus, de peur de faire attendre son nouveau camarade de sport. Et puis, elle sentait qu'elle pourrait bien s'amuser avec lui. Il lui demanda ensuite si cela faisait longtemps qu'elle faisait des jogging le matins et surtout si elle serait capable de tenir 45minutes de course. Il ne savait pas à qui il parlait. 45minutes, 'était ce qu'elle faisait quand elle n'avait pas beaucoup de temps ou e qu'elle faisait au début de sa carrière. Avec son coach sportif, elle en avait fait des kilomètres et surtout, elle en avait brulé des calories. Cet homme avait été pour elle un chasseur de graisse.

"C'est normale que tu me vois pour la première fois. Je suis arrivée qu'il y a quelques jours. Et pour te suivre, ne t'inquiète pas pour ça. Cela fait presque trois ans que je fais du sport intencifement afin de ne pas prendre le moindre gramme."

[Désolé, poste pourri mais pas trop d'inspi sur e coup là °>.<°]

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Alors elle ne voulait pas paraître embetée mais c'est sur que quand on oublie sa bouteille d'eau c'est forcément fatale après avoir couru d'où le fait que j'ai toujours de l'argent sur moi quand je vais courir enfin juste assez pour acheter une bouteille d'eau bien fraîche venant tout droit du distributeur. Bref pour éviter un blanc, je repris la conversation toujours avec la même voix que j'avais pour habitude de prendre pour parler avec des filles, je ne dirais pas que je prend cette voix pour la séduire mais c'était devenu une habitude, je n'aime pas prendre de grosse voix bien grave et je ne vous cache pas que sa plait à plus d'une.

"Ouais mais c'est mieux d'avoir une bouteille d'eau bien fraîche sur soi après avoir couru, sa permet de calmer le métabolisme et on se sent mieux après mais pas aussi mieux qu'après une bonne douche, n'est ce pas?" lui dis-je avec un petit clin d’œil.

Il était vrai qu'on se sent tellement bien après et même pendant une douche surtout après avoir couru, j'étais sur qu'elle allait être d'accord avec moi.Ensuite elle se présenta à son tour, elle s'appelait alors Mayuchito et elle préféra d'entrer que je l'appelle par son diminutif Mayu qui faisait plus féminin pour elle. Personnellement, je n'avais pas vraiment entendu ce prénom mais il était jolie et même si il était vrai que je côtoyait pas mal de japonais, j'avais pour habitude de trainer qu'avec des personnes d'origines occidentaux ce qui est plutôt ironique vu qu'on vit dans un pays asiatique malgré que je sois américain. Bref, lorsque je la vis faire ses étirements, cela m'avait fait tout de suite penser que je ne les avais pas faites alors je m'étirais les jambes légèrement pour ne pas paraitre impoli en reprenant la parole en signe de politesse.

"Et bien je t’appellerais par ton diminutif, Mayu. Je ne suis pas très calé en prénom japonais donc je sais pas si sa fait plus masculin qu'un autre prénom mais c'est un jolie prénom pour une jolie personne."

Mayu enchaîna ensuite sur le fait que c'était normal que je ne l'ai pas vu auparavant puisqu'elle n'était arrivée il n'y a que quelques jours.Alors elle était nouvelle dans le bahut, même si sa faisait pas mal de mois que j'étais là, j'avais du mal à reconnaître les nouveaux des anciens. Et à peine avoir finit de parler qu'elle reprit directement la conversation en montrant son enthousiasme à venir courir avec moi tout en précisant que les 45min était de loin un problème pour elle puisqu'elle en faisait depuis 3ans intensivement pour ne pas prendre un gramme. Voilà encore une fille qui était accro à son physique, ce n'était pas la première avec qui je courais et cela me choquait qu'elle courait depuis 3ans pour cette raison puisque mes précédentes partenaires abandonnait au bout de 1mois alors cela m'a mis la puce à l'oreille qu'il y est une raison caché derrière celle-ci et juste pour satisfaire ma curiosité je lui poserais la question. Mais en tout cas cela me faisait rire car j'étais persuadé qu'elle disait ça pour me rabaisser légèrement par rapport à elle alors que je cours depuis que je pratique la boxe soit depuis mes 6ans et que ma raison était beaucoup plus respectable que la sienne. Bref, trêve de supériorité, je repris la conversation avec une voix plus sucré qu'avant mais tout en gardant mon petit sourire.

"Han... C'est pour ça que c'est la première fois que je te vois. Enfin tu me diras il n'y a pas énormément de sportifs dans ce bahut. Mais sa me rassure que tu cours depuis un certains moment, les filles avec qui j'ai couru auparavant pour les même raisons que toi lâchaient prise au bout d'un mois tandis que moi sa fait depuis 11ans que je cours. Alors je suppose que ne pas prendre de gramme est une raison qui te tient vraiment à cœur pour te satisfaire ou bien que c'est une raison qui en cache une autre plus importante. Hein?"

Je la regardais avec un tendre regard et toujours avec mon petit sourire après lui avoir fait un clin d’œil, attendant impatiemment sa réponse.

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Elle rêvait où Hiromi était en train de la draguer ? Si ce n'était pas le cas, cela y ressemblait beaucoup. Lorsqu'on fréquente le même milieu que le sien, il n'est pas rare qu'une personne parle du même ton que la personne se trouvant à côté d'elle. Il faut dire aussi que les garçons sont de vrai dragueurs nés dans le monde du mannequina, ou du moins, ceux qui ne sont pas gays, bien qu'ils ne sont pas les derniers à faire du rentre dedans entre eux. Pour tout vous dire, malgré le fait qu'elle commence à avoir un eu l'habitude t'entendre cette voie, elle a toujours dû à comprendre pourquoi les personnes du sexe masculin l'utilise si souvent lorsqu'ils draguent. Ne peuvent-ils donc pas être naturels ? Cela nuirait-il à leur charme ? Pas du tout, au contraire, il valait mieux être soit même le plus possible que de montrer un masque angélique pour ensuite l'enlever pour montrer un diable.
Malgré tout, les deux jeunes gens arrivaient à bien communiquer. Preuve que la demoiselle se santé bien, à l'aise dans ses baskets. Et puis, il pouvait toujours essayer de lui faire du charme avec sa voix douce et ses clins d'œil, elle ne baisserait pas aussi vite sa garde. Ou alors, si elle le fait, ce ne serait que pour bien le remettre à sa place. On disait peut-être d'elle qu'elle était un cœurs d'artichaut, mais sur le terrain, c'est une autre paires de manches.

"Il est vrai qu'il y a rien de mieux qu'une bonne douche, ça calme le corps tout entier en plus de se faire masser avec l'eau tombant sur les épaules. Rien que d'y penser ça me détend. Mais je dois avouer que les sources d'eau chaudes sont très agréables aussi après un effort ou une dure journée. Enfin, à condition de ne pas trop y rester longtemps pour ne pas tomber dans les vapes à cause de la chaleur."

Tient donc, aurait-elle essayé un jour cette expérience ? Effectivement, cela date d'il y a moins d'un an. Elle avait eu cette idée avec une de ses collègues qui visait le titre de miss Japon. Mais elles étaient restée un peu trop longtemps que prévu à bavarder entre fille de tout et surtout de rien pour finir dans les pommes. Elles s'étaient retrouvées dans leur chambre avec un pochon de glace sur le front afin de faire baisser la température de leur corps. Dure soirée ...
Mais passons, là n'est pas le sujet. Mayuchito rigola légèrement lorsqu'elle apprit que le jeune homme ne se connaissait pas trop en nom japonais. Cela n'était pas banal venant d'un japonais. A moins qu'il ne l'était pas vraiment. Qui sait vraiment, peut-être qu'il est métisse.

"Mayuchito est la traduction japonaise du prénom Mathieu, enfin, c'est e qu'on m'a dit. Après je ne sais pas si 'est vrai ou non. Je devrais un jour vérifier. Mais en tout cas merci pour le compliment."

Oui, un simple merci et sans rougir, quel exploit ! Elle qui rougissait pour un rien, elle avait réussi à garder son sang froid. Enfin, peut-être qu'elle ne pouvait pas rougir car ses pommettes l'étaient déjà par l'exercice qu'elle venait de faire. Cela reste à prouver ... Tout ce que je peux vous dire c'est que ce n'est pas la première fois qu'elle entend dire qu'elle était jolie, ou encore qu'elle était une personne très charmante. Combien de mannequin, avec qui elle avait posé, lui avait proposé de venir le rejoindre dans sa loge ? Bon d'accord, pas tous, juste les hétéros, donc pas grand monde, mais c'était déjà ça. C'était peut-être pour cela qu'elle préférait travailler avec des hommes au penchant masculin. Au moins, eux, ils ne l'embêtaient pas avec ça. En plus, on pouvait facilement parler avec eux.
La demoiselle fut assez surprise de la réaction d'Hiromi par rapport qu'elle courrait depuis trois ans. Il était vrai qu'elle trouvait cela impressionnant que lui fasse cela depuis bien plus longtemps qu'elle, mais elle n'avait nullement cherché à se valoriser. Enfin du moins pas pour le dominer, au contraire. Elle avait simplement voulu lui faire comprendre qu'il pouvait comptait sur elle pour ne pas rester à la traine. Elle se fichait pas mal qu'il courait depuis plus de dix ans, d'ailleurs, il devait avoir un niveau bien plus élevé qu'elle dans ce domaine.

"Et bin, ces filles alors ne devaient pas être si motivée que ça. Mais c'est vrai que j'ai un peu l'obligation de garder la ligne. Je suis dans le monde de la mode et les kilos en trop ne sont pas permis. Déjà que mon patron se plaind que j'ai encore pris de la poitrine récemment, il ne faudrait pas non plus que mon tour de hanches augmente."

C'est vrai, son patron avait piqué une crise en voyant qu'elle ne pouvait plus entrer dans ertaines robes à cause de sa poitrine. De son côté, Mayu, elle n'y pouvait rien. A dix-sept ans, le corps n'a pas encore fini sa croissance, ou du moins, pas de ce côté là. Et puis, qu'il soit content, ce n'est pas tous les jours qu'on a un model avec des formes, des vraies formes de femmes et non être une planche à pain.
Puis Mayu sourit joyeusement à Hiromi. Cela cachait quelque chose. Oui en effet. Ses clins d'oeil commençaient à l'embêter. Non pas qu'elle n'aimait pas qu'on lui fasse du charme. Quelle fille n'aime pas cela ? C'est qu'elle commençait à en avoir par dessus la tête de ce genre de comportement. Remarquez, au moins cette fois-ci lui ne semblait pas savoir qui elle était et ce n'était pas non plus une star. Ca changeait de d'habitude. Mais tout de même.

"Par contre, tu veux un conseil ? Tu peux arrêter tes clins d'oeil, ça ne fait aucun effet sur moi."

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Apparemment la jeune fille avait déjà été dans les sources chaudes, elle le mentionna après avoir confirmé ce que je disais à propos du bien-être sous la douche. Elle avait déjà eu l'expérience des sources chaudes et en croire par sa phrase, elle à dû tomber dans les vaps mais bon bref. Je repris le fil de la conversation toujours avec une douce voix et toujours le même sourire.

"Ah oui, j'en ai déjà entendu parler des sources chaudes mais je n'y suis jamais aller. C'est vraiment bien?"

Elle me fit comprendre ensuite que Mayuchito est le nom en japonais de Mathieu, mais elle en était pas sur de ce prénom français. Qu'est ce que j'aime pas ces français avec leur vin et leur fromage ainsi que leurs manière je vous avouerais que je suis un vrai nationaliste et que j'adore mon pays, l'Amérique. Et je ne sais pas si c'est moi, mais Mayuchito est vraiment plus jolie que Mathieu. Je repris encore une fois la parole pour lui répondre après qu'elle m'est remerciée du compliment.

"Un prénom français tiens... C'est nettement plus jolie en japonais et en américain. Au faites, t'es en quel classe?"

Elle me parla ensuite de ma remarque sur les filles, apparemment elle n'avait pas l'air d'être comme elle vu qu'elle courait pour perdre du poids à cause de son job. Voilà la vrai raison de son footing, sa j'en étais sur, aucune fille n'irait courir depuis si longtemps juste pour garder sa ligne surtout à son âge. Elle me fit savoir qu'en ce moment c'était vraiment essentielle pour son job car elle avait pris de la poitrine "encore", sous les râlement de son boss. Au risque de paraitre pervers, je vous avoue que j'ai regardé discrètement sa poitrine, elle était voluptueuse et plutôt à mon goût mais bon, on ne peut pas lui en vouloir d'en prendre, c'est la nature et je trouvais sa sexy pourquoi son boss râlerait? Elle attirerait beaucoup de regard sur ses shooting, mais bon bref je repris le fil de la conversation de la même façon que d'habitude avec un sourire.

"Je savais qu'il y'avait une raison cacher mais est-il sérieux ton patron? T'en vouloir parce que tu prend de la poitrine? Est-il vraiment conscient que tu pourrais attirer beaucoup de regard pour ses photos? En tout cas, tu dois attirer beaucoup de jeunes hommes"

Elle me fit savoir par la suite que je pouvais arrêter mes clins d’œil avec un sourire joyeux, je fut très très surpris de sa réaction qui était exprimé par un relèvement de mes sourcils et mon pas de recul pour m'éloigner. Elle croyais que je lui faisais vraiment du charme? Laissez-moi rire, j'avoue dans le sens où la je ne le fais pas consciemment, si je l'avais voulu, je lui aurais fais du rentre dedans et ce n'est pas la première qui me fait la remarque. En tout cas, elle avait l'habitude qu'on lui parle et fasse ses gestuelles avec elle mais je suis désolé pour cette fille, je n'arrêterais pas. Comment peut-on enlever une habitude de parler, d'agissement une personne comme ça? Impossible, j'avais l'habitude de parler comme ça avec toute les personnes donc elle pouvait tout de suite se faire petite et j'allais justement le lui faire remarquer.

" Sa te dérange tant que ça? T'es pas la première à me faire remarquer ça, et je ne dois pas être le premier à faire ça avec toi, ne crois pas que je te drague loin de là, c'est ma façon de parler. Donc tu peux te détendre la miss. "

Je lui avais dit cela toujours avec ma voix douce et mon petit sourire.

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"C'est vraiment agréable en plus d'avoir un superbe panorama. Le seul hic c'est quand on reste trop longtemps. Je crois que je m'en souviendrais encore pendant longtemps la honte que j'ai eu quand j'ai vu la personne qui m'a ramené dans ma chambre ..."

Pourquoi s'en souviendrait-elle pendant longtemps ? Tout simplement parce qu'on lui avait dit qu'elle avait perdu sa serviette et qu'on l'avait donc ramassée nue. Non pas qu'elle ait honte de son corps, même loinde là. Mais elle s'est toujours dit que le jour où elle enléverait ce bout de tissu en trop devant quelqu'un ce serait pour se donner à lui. Hors, elle n'avait aucunement l'intention de se donner à cet homme qui l'avait secouru. Pourquoi donc ? Après tout, il lui avait sauvé la vie. La réponse est simple : gros macho en plus d'être laid !
Puis, Hiromi fit une petite remarque sur le nom de la jeune fille, du fait qu'il sonnait bien mieux en japonais et en américain. En américain ?! Elle n'avait nul parlé d'américain. D'ailleurs elle se demandait bien comment on disait Mathieu dans cette langue ... Quoi qu'en réfléchissant bien, il ne devait pas y avoir grande différence entre le français et l'anglais. Mais passons. Cette pette réflexion venait de lui faire tilt dans sa tête. Elle pensait avoir compris d'où il venait, enfin, elle espérait avoir mis le doigt dessus.

"Ainsi donc tu es américain ?! Hé bin, ça se voit pas du tout. Tu as une tête de japonais pourtant."

C'est vrai qu'il n'avait rien d'américain. Son visage était fin, comme celui d'un asiatique, sa chevelure était foncée et il parlait très bien le japonais sans avoir un accens d'étranger. Non, il n'y avait rien qui pouvait lui mettre l'étiquette d'américain.
Le jeune homme parla ensuite du patron de Mayu. Ha ... S'il savait ! ien sûr que cela avait de bon côté que d'avoir une telle poitrine, surtout quand on fait des photos de charmes, ce qui étaient loins le cas de la demoiselle. Elle, elle posait pour des marques de luxe et ce genre de marque n'aiment pas trop avoir des ammanequins à fortes poitrines car cela, est celon eux, vulgaire. Malgré tout, ce que dit le garçon la fit sourire.

"C'est pas faux, j'attire pas mal de garçons. Enfin si on compare le nombre qui me regardent et ceux qui m'abrodent réellement dans le but de me séduire, il n'y en a pas tant que cela à vrai dire. Mais après, je comprends un peu mon patron, surtout quand il faut reprendre toutes mes tenues pour que je rentre de dans. Mais de l'autre côté, ils exagèrent toujours, surtout lorsqu'il faut entrer dans leurs normes ..."

Ha leur normes ... Vraiment qu'elle bande de c*****s avec leur normes. Aujourd'hui, les filles devaient être toutes identiques : même taille, même poids, mêmes mensurations. En gros, on ne pouvait plus être originale pour sortir du lot. Quelle poisse ! Heureusement qu'elle tirait déjà son épingle du jeu par sa petite taille, ce qui n'était pas forcément un aventage. Mais bon, temps qu'elle avait encore du travail, Mayu s'en fichait pas mal.
Puis le jeune homme commena les dires de la demoiselle sur son comportement. Non, cela ne la gênait pas. Au bout de presque trois ans, elle commençait à avoir l'habitude mais tout de même, cela ne l'embêtait plus pour autant. Au début, elle trouvait cela amusant de se faire aborder de la sorte, même parfois elle se trouvait gênée. Mais aujourd'hui, c'était autre chose. Elle avait murri dans sa tête, bien que parfois c'était à mettre en doute, et elle ne trouvait plus cela aussi amusant qu'avant. Pourtant, d'après Hiro, il ne faisait rien de telle. Au contraire, il disait que cela était dans sa façon de s'exprimer.

"Ha bon ! Ainsi, tous les américains parlent d'une voix douce et sensuelle tout en faisant des clin d'oei en parlant à quelqu'un ?"

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Elle en avait gardée un bon souvenir apparemment, elle me vendait un peu de rêve et elle m'en avait donné l'envie d'essayer un jour ces sources chaudes malgré le fait qu'elle est insistée sur son retour de ces sources qui était assez gênante pour elle. Je comprend dans le sens où elle devait être nue et surtout que ça devait être un homme qui à du la raccompagner sinon elle n'aurait jamais dit cela de cette manière. Sans changer d'intonation, je repris la parole en rigolant.

"Arrête! Tu me vend un peu trop de rêve avec ton expérience. Enfin à part la fin où tu t'es évanouies, mais la personne était un homme je suppose pour que tu es honte à ce point non?"

Ensuite elle devina que j'étais américain, ce n'était pas un réel exploit vu comment j'avais parlé du prénom et surtout la manière dont je l'avait dis. Mais j'avouerais qu'elle était assez perspicace ce qui prouvait qu'elle m'écoutait, en parlant de perspicacité elle m'avait fait part que mon physique ne ressemblait pas à celui d'un américain que j'avais réellement une tête de japonais. Je devais avouer que mon métissage était assez léger mais quand même, je suis fidèle à mon pays, j'y avais assez vécu pour le porter dans mon cœur malgré le fait que j'avais énormément suivit et prit l'habitude des mœurs japonais. J'y étais rattaché aussi parce que ma mère y vivait, après son départ j'en avais toujours voulu à la justice de ne pas m'avoir laissé retourner là-bas avec elle, elle me manquait énormément mais en pensant à elle j'avais toujours ce fameux sourire qui me rappelait notre accent américain lorsqu'on parlait japonais qui nous faisait rire pendant des heures et des heures, un accent que j'ai perdu puisque Mayu ne m'en avait pas parlée. Je repris le fil de la conversation toujours en souriant mais avec une voix moins douce, qui virait un peu plus sur la tristesse à vrai dire.

"Oui je suis américain par ma mère et japonais par mon père, je suis né à New-York. Et toi, tu es 100% japonaise?"

Enfin bref, trêve de nostalgie et d'Amérique, la jeune fille repris la conversation en souriant sur ma remarque par rapport à sa poitrine et en effet elle attirait beaucoup de jeunes hommes en catégorisant ceux qui l'abordait pour la séduire et ceux qui la regardait simplement. Elle disait que il y'avait beaucoup de jeune hommes qui la regardaient simplement et peu de gens qui venaient l'aborder, cela m'étonnait pas si elle leur faisait la même réfléxion qu'elle m'avait faites, cela ne pouvait que les faire fuir.
Elle s'attarda ensuite sur son patron, elle le comprenait dans le sens où il devait reprendre ses tenues pour qu'elle rentre dedans sans pour autant oublier qu'il exagère sur la norme. Apparemment il y'avait une certaine norme pour les habits et le physique des mannequins alors je supposa qu'elle devait poser pour une marque de luxe car dans les marques de moyenne gamme il y'a une marge de norme et d'après sa façon de parler la sienne, sa marge était quasi inexistante. Je connaissais très bien cela car ma mère pendant mon enfance était une commerciale d'une société de vêtements de luxe et lorsqu'elle en parlait avec mon père, elle parlait des normes des mannequins ect... Maintenant elle est gérante d'un magasin à la 5th avenue de New-York toujours dans la même entreprise donc je suis assez au courant des coulisses des sociétés de luxe puisqu'on s'appelait assez souvent. Bref, je m'étais ressaisit par ce sujet et repris ma voix douce et mon sourire.

"Et bien, je t'avouerais que tu es plaisante à regarder et encore plus avec qui parler, les gens devraient plus prendre le temps de venir t'aborder car ça en vaut la peine. Je vois, tu poses pour une marque de luxe n'est ce pas? Car tu me parles de normes plutôt restreinte et tout, et cela ne se produit que dans les sociétés de luxe."

Ensuite, elle enfonça un peu le clou sur mon attitude envers elle en demandant si tout américain parlait comme je le faisais. A vrai dire, dans le milieu où je vivais il y'en avait beaucoup que ce soit chez les petits où chez les grand. Mais pour les clins d'oeil, je devais avouer que cela venait vraiment de moi, ma nature séduisante prenait de plus en plus de place dans ma façon de me comporter avec les filles et je m'en rendais vraiment compte avec la remarque accentuée de cette fille. Elle me plaisait physiquement comment est ce que je ne pouvais pas essayer de la séduire ne serait-ce qu'un peu? Elle était charmante et à la fois direct, j'aimais plutôt cela. Bref, toujours avec ma voix douce, je voulais tourner un peu ce sujet à la rigolade en affichant un large sourire et un petit clin d’œil.

"Non, mais dans le milieu où je vivais la majorité parlait comme cela et je t'avouerais que les clins d’œil viennent de moi.Mais si tu préfères que je parle d'une voix rauque et que je devienne une brute épaisse sa sera dur pour moi de le faire donc tu peux toujours rêvée ma petite."

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Dans le mile, ce garçon n'avait donc pas la tête creuse pour raisonner, pour bien raisonner. D'alleurs, avait-il peine conclu que son sauveur avait été un homme que Mayuchito eut les pomettes qui commençaient à rosir. Non mais quelle honte ! Jamais elle ne voudrait faire face à cet homme, mais si cela devait lui permettre d'avoir un plus de notoriété dans son métier. Pourquoi ne plus le voir ? Cela n'était si dramatique que cela, vous êtes d'accord ? A vrai dire pour elle non plus, mais elle ne serait que dire devant lui. Elle fermerait simplement la bouche, rougirait et partirait en courant le plus vite possible. Et oui, cette demoiselle avait beau être franche quand elle le souhaitait, mais dans certaine circonstance, elle préférait prendre la fuite. Pour tout vous dire, il n'y avait pas que dans ces conditions qu'elle préférait tourner le dos. Elle était très forte pour détourner le sujet lorsqu'il s'agissait d'amour. Elle n'était jamais à l'aise lorsqu'un garçon lui faisait une déclaration. Elle faisait toujours en sorte de faire la sourde oreille, ce qui au final énervait toujours le Roméo faisant sa déclaration. Mais que voulez-vous, elle est ainsi et elle ne changera pas de si tôt.
Stop, nous nous éloignons du sujet. Revenons à nos moutons et à la réponse de la demoiselle qui ne savait subitement plus vraiment où se mettre.

"Bonne pioche. J'aurais tant aimé que ce soit une femme qui vienne me chercher ... Mais passons tu veux bien ? J'ai entendu dire qu'il y avait une source pas très loin d'ici. Peut-être irons-nous y faire un tour. Ou toi tout seul si tu le souhaites. Je n'ai pas très envi de jouer les squatteuse."

Et oui, elle avait beau n'être arrivée qu'ici il y a peu, elle connaissait déjà les bons coins. Il faut dire qu'elle s'était rensiegnée sur la région avant d'y mettre les pieds, c'était ce qu'elle faisait toujours avant de se rendre à un endroit. Malheureusement, lorsqu'elle était en déplacement pour son travail, elle n'avait jamais le temps de visiter les endroits qu'elle désirait : soit par manque de temps, soit parce qu'elle provoquait une foule monstre autour d'elle et ne pouvait avancer d'un pas. Mine de rien, cela avait du bon d'être dans l'anonyma. Mais pour elle, elle devait faire sans pour le moment, bien qu'il n'y avait pas encore beaucoup de personnes qui l'avaient reconnu jusqu'à présent depuis son arrivé.
Voila qu'Hiromi faisait rêver la jeune fille. New-York ! Elle rêvait d'y aller un jour. Elle se fichait pas mal si cela serait dans le cadre de vacances ou pour son travail, mais cette ville, comme d'autres grandes villes, la fascinait. Elle rêvait de faire les boutique, marcher dans les rues les plus connu et manger un hot-dog en pleine rue. Cela peut peut-être vous paraître futile, mais chacun ses rêves. Qui sait, peut-être qu'un jour ce rêve se réalisera ... Pour le moment, elle devait se contenter de son japon et de sa capital, bien qu'elle y éait loin pour l'instant. Il fallait d'abord qu'elle se "soigne" avant de retourner au travail. Espérons que cela ne durera pas une éternité.

"Quelle chance tu as ! J'aimerais tellement me balader dans les rues de New-York ! Mais pour le moment je me contente de mon Japon. Et oui, je suis une japonaise pur et dur ... Oui je sais, cela ne donne pas beaucoup à rêver."

Comment ?! ce jeune homme connaissait le monde du luxe ?! Elle l'avouait, Mayuchito était très suprise. Jamais elle n'aurait cru cela de ce garçon. Peu de personne savait comment cela fonctionner, le luxe, et encore moins dans le monde de la mode, bien que cela était facile à remarqué. Après tout, c'était toujours des filles identiques qui défilaient sur les podiuns ... Saletés ... Elle aussi voulait marcher, défiler devant des personnes, portant fièrement la création d'un créateur connu. Son grand rêve, autre que celui d'arriver à New-York, défiler pour une des grande marque française comme Channel par exemple ... Là encore, cela n'était qu'un rêve impossible à réaliser. Elle devait déjà se rendre à l'évidence que cela était un vrai miracle qu'elle puisse déjà faire ce qu'elle faisait. Il y avait peu de fille comme elle qui avait accés à ce genre de privilège.

"Alors là tu me surprends. Je n'aurais jamais pensée que tu puisses connaître le monde du luxe. Mais je vais te dire une chose : je vais essayer de faire en sorte que cela change afin que d'autres filles, aussi belle si ce n'est plus que moi, puissent faire le même métier que moi en étant aussi petite quoi moi et avec des belles formes féminines. Ainsi, la mode pourra réfléter le vrai monde."

Elle n'était donc pas seulement plaisante à regarder, mais aussi elle était une personne avec qui parler. Ces paroles la touchèrent beaucoup. Il y avait peu de gen qui disait ce genre de chose. Pourtant c'était des choses qu'on aime entendre. Pour Mayuchito, cela voulait dire qu'elle n'était pas qu'un simple corps qui prenait la pose pour tel ou tel produit. Des ces paroles, elle ne sut quoi répondre. Peut-être parce qu'elle avait été trop ému ... Peut-être, mais je vous dirais juste qu'elle rougit légèrement, rien de plus, espérant simplement que cette réponse muette suffira au garçon.
Qu'il devienne une grosse brute ? Cela en était hors de question ! Pourquoi donc ? Après tout, elle n'était une personne assez importante aux yeux d'Hiromi pour lui dire ce qu'il devait ou ne pas faire. Il pouvait faire ce que bon lui semblait. Mais tout de même, il ne fallait tout de même pas qu'il devienne le contraitre ce qu'il était. Enfin, elle ne savait pas vraiment s'il était une personne calme ou non. Pourtant, elle voyait mal ce jeune homme se battre pour un rien, ou même donner un simple coup de point à quelqu'un sans raison. Qu'il reste comme il était, qu'il reste lui même. Elle s'était simplement posée la question sur cette attitude peu ortodoxe au Japon qui était surtout utilisée pour la drague, rien de plus. N'allons pas changer du tout au tout parce que cela n'était pas banale dans ce pays.

"Non, non ! Reste comme tu es. C'est juste que je n'ai pas l'habitude ce genre d'attitude hors de la drague. Rien de plus. Je m'y ferais bien au bout d'un moment."

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Effectivement c'était un homme qui était venu la secourir, lorsqu'elle l'avoua elle rougissait légèrement des joues en demandant de changer rapidement de sujet. Je la regardais en riant légèrement, avant de l'écouter parler d'une source chaude pas très loin avec une petite invitation qui a été balayé par la suite en disant qu'elle ne voulait pas faire la squatteuse. Bizarre comme approche, une proposition qu'on retire légèrement après, mais j'avais capté qu'elle voulait y faire un tour avec moi mais dis comme cela il fallait faire vraiment connaissance c'était plutôt bien joué de sa part. En tout cas cette idée ne me déplaisait vraiment pas et j'allais lui répondre en souriant.

" Oui changeons de sujet. Aller au source chaude seul est peut-être relaxant, mais c'est mieux d'y aller bien accompagné n'est ce pas? Alors allons-y ensemble un de ces quatre, tu pourras m'éviter de m'évanouir au passage."

Ensuite, comme toutes les filles, elle s'exclama en parlant de son rêve d'aller se balader à NY mais reprit une intonation plus calme en parlant du Japon, elle était bien japonaise, une pure mais ce décrescendo entre le début de sa phrase et de la fin de sa phrase montrait qu'elle se lassait un peu de son pays et qu'une ville aussi connu que New-York la faisait tellement rêvé qu'elle pourrait être sur un nuage à la seconde ou elle aura prononcer le nom de cette ville.
Cela me faisait rire car toute les filles s'exclamèrent de la même façon qu'elle en faisant une comparaison avec la ville, le pays ou elle vivaient même si c'était une comparaison que je captais en rapport avec l'intonation de leur voix.

"Ah ah, les mannequins ont tout le temps la même réaction. N-Y vous fait rêver tant que ça? Je comprend, c'est une ville magnifique. Tu dis, te contenter de ton Japon, pour être franc c'est un beau pays alors tu ne te contentes pas de peu."

Après, elle fut surprise que je connaisse le monde de la mode de luxe, effectivement sa doit être surprenant qu'un jeune homme comme moi puisse connaitre les coulisses de la mode. Elle en profita pour me dire qu'elle voulait changer un peu le monde de la mode en permettant à des filles de même corpulence qu'elle de poser pour des marques. C'était une idée humaine, elle n'était donc pas égoïste comme certaines célébrités et apparemment elle veut accomplir ses idéaux ce que j'aimais particulièrement chez les personnes qui ont ce caractère là.

" Ma mère est gérante d'un magasin de luxe sur la 5th avenue de New-York donc je m'y connais bien. C'est bien que tu veuilles changer un peu le monde de la mode pour au final essayer d'éliminer les normes physiques pour les mannequins, j'aime bien."

Par la suite, ses joues reprirent des couleurs à mes compliments, elle ne savait plus où se mettre apparemment pourtant je ne disais pas ça que pour la draguer totalement mais pour exprimer ma pensée, si elle n'avait été que belle et chiante je n'aurais jamais pris la peine de la complimenter. Mais bon, son attitude était apparemment la réponse vu qu'elle ne reprit pas le fil de la conversation en tout cas cela ne me suffisait pas tellement alors je continuais toujours avec un sourire sans pour autant continuer à la complimenter car cela allait faire trop lourd et même si elle était belle à croquer quand elle rougissait.

"C'est vraiment ce que je pense."

Ensuite elle s'exclama en me disant qu'il fallait que je reste comme j'étais mais j'avais pas l'impression qu'elle avait compris ce que je voulais vraiment dire. Ce n'était pas une question mais plutôt une affirmation que j'avais dis et je n'aime pas réellement qu'on comprenne de travers ce que je dis mais elle était pas réellement habitué à ce qu'on ne l'a drague pas apparemment mais effectivement elle allait devoir s'y faire, car cela pourrait me permettre de la draguer ouvertement sans qu'elle le voit.

" En faites je voulais dire que tu pouvais toujours rêvé si tu préférais les brute épaisse et que tu voulais que je parle ainsi. Et puis, oui sa serait bien que tu t'y fasse même si en faites, je te dragues peut-être déjà..."

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Là dessus il avait raison, cela était bien mieux d'aller se relaxer à deux que seul, au moins on s'ennuyait pas. De plus elle ne se cachait pas, Mayuchito voulait bien accompagner le jeune homme, après tout c'était elle qui connaissait l'enroit, ou presque. Mais il y avait un hic, jamais il pourrait se parler face à face dans la rotenburo. Ils seraient chacun de leur côté du bassin, séparé par une cloture en bois. Pour sa part, la demoiselle se voyait mal parler fort et surtout et que tout le monde entende leur conversation. Imaginez un peu qu'ils commencent à parler de choses un peu plus intimes comme heu ... de choses plus intimes, des choses que tout les monde n'a pas besoin de savoir et de connaître. C'était pour cette raison qu'elle lui avait dit qu'elle ne voulait pas s'incruster dans son moment de détente. Pourtant, lui, il semblait très enjoué du fait qu'elle l'accompagne, d'ailleurs il se moqua même d'elle lorsqu'il lui demanda de le surveiller à ce moment là pour qu'il ne tombe pas dans les pommes. Quel taquin !

"Hé, c'est méchant de se moquer de moi. Et puis ce sera difficile car on sera séparé certainement par une cloture en bois. Donc chacun de notre côté."

Et oui, il fallait tout de même pas croire qu'elle allait si vite se laisser se faire regarder avec qu'une simple serviette sur le dos. Elle ne voulait pas que le même accident se reproduise, bien que je vous l'admet, aujourd'hui elle fait très attention lorsqu'elle se trouve dans une source d'eau chaude. Il ne faudrait pas qu'une autre personne du sexe opposée la voit dans le plus simple habit, il en était hors de question. Et puis imaginons que ce soit Hiromi qui ne tombe cette fois-ci, elle ne pourrait lui venir en aide, cela serait impossible pour elle. Non pas qu'elle ne pourrait pas rentrer dans le bassin d'à côté, pour cela on arrive toujours à s'arranger. C'est juste qu'elle ne pourrait jamais le hisser hors de l'eau avec son peu de force. Bon d'accord, elle pourrait toujours appeler de l'aide ... Mais si on pouvait éviter ce genre de problème, ce serait super.
Hiromi ne pouvait pas comprendre l'angoumant qu'avait les mannequins pour New-York. Pour eux, cette ville s'était la porte ouverte à beaucoup de chose. A partir de là on pouvait se spécialiser dans une catégorie. Soit être mannequin pour la haute couture ou être l'égérie d'une grande marque. Certain encore pouvait partir pour faire autre chose comme faire de la comédie ou de la chanson. Pour la comédie, Mayuchito avait déjà pu commencer ici même, mais si elle pouvait avoir la chance de pouvoir excercer un peu plus cette partie d'elle là-bas, elle n'en serait que fière.

"Bien sûr que New-York nous fait rêver. Tu n'imagines même pas tout ce que l'on peut faire en tant que mannequin dans cette ville. De nombreuses opportunités s'offrent à nous, à condition de ne pas rester les mains dans les poches. Là-bas, on n'a pas besoin de forcément coller à une étiquette alors qu'ici, il faut à tout prit plaire au publique pour y arriver, que l'on soit manequin, comédienne ou chanteuse. Pour ma part j'ai eu beaucoup de chance, une chance que tout le monde n'a pas."

Ainsi sa mère tenait une boutique à New-York même ! Cela changeait de ses parents qui étaient restaurateurs. Non pas qu'elle n'avait pas de respect pour eux, au contraire elle admirait leur travail, c'est jusque ses parents ne comprenaient pas vraiment pourquoi elle arrivait à gagner plus d'argent qu'eux en passant simplemet dix minutes à la télévision. Il est vrai que cela puisse paraître rageant, mais elle n'allait tout de même pas cracher sur l'argent qu'on lui offre pour faire peu de chose. Je vous arrête tout de suite dans vos pensées. Non, elle ne faisait pas cela pour l'argent ni pour la gloire. A vrai dire, cela lui plaisait de faire ce qu'elle faisait. Pouvoir représenter une grande marque ou même d'autres, pouvoir les aider à vendre leur produit, même si cela voulait dire être traité comme un objet. Mais ce n'était pas tout, elle aimait être la permière mannequin petite et à forte poitrine. Elle aimait être la preuve que l'on pouvait être séduisante alors qu'on ne mesure pas une certaine taille.

"Il faut bien que quelqu'un fasse bouger les choses. La mode d'aujourd'hui ne reflette pas du tout le monde féminin et complexe les femmes d'aujourd'hui."

Voila qu'il enfoncer un peu plus le couteau dans la plaie, enfin dans une plaie inexistante. Il insistait afin qu'elle lui réponde quelque chose sur son sompliment. Mais que voulait-il qu'elle lui réponde. Elle savait pertinnement qu'un merci ne suffirait pas, mais elle ne voyait pas répondre d'autre. Attendait-il qu'elle lui fasse un compliment à son tour ? Si c'était le cas il pouvait allait allieurs. Non pas qu'elle ne voulait pas le complimenter car elle trouvait qu'il était très agréable de parler avec lui, c'est juste qu'elle était très nulle pour les compliments et qu'à chaque fois qu'elle voulait en faire, rien ne sortait de sa bouche. A cause de ça, elle préférait tout simplement garder la bouche fermer au lieu de l'ouvrir pour rien. Faisant un effort monstre, elle ouvrit la bouche pour lui dire ce qu'elle pensait mais elle fut prise d'un petit vertige qui la fit s'assoir sur le banc. Bie sûr que non, ce n'était pas le fait qu'elle avait voulu s'exprimer qui l'avait fait tourner la tête, même loin de là, c'est juste qu'elle commençait à manquer d'énergie. Il faut dire qu'elle n'avait rien mangé depuis hier midi. Pourquoi donc ? Serait-elle en train de faire un régime ? Pas du tout, elle n'aimait pas se restreindre au niveau de la nourriture. C'est juste que hier soir elle n'avait pas eu le temps de manger quoi que ce soit que le réfectoire avait fermé ses portes. Elle était pourtant simplement arrivée deux minutes en retard. Elle prt une grande inspiration et puis expira lentement avant de se remettre à afficher un sourire et de répondre au garçon.

"Merci pour ta sincérité. Les garçons comme toi sont rares de nos jours."

Comment ça il la dragué peut-être déjà ?! Bien qu'il avait déjà le peut-être pour elle il n'y avait aucun doute, il était en train d'essayer de la charmer. Comment avait-elle pu baisser sa garde si facilement pour se laisser aussi facilement draguer ? Peut-être parce qu'il avait dit que part chez lui, la plus part des gens étaient ainsi, sauf pour les clins d'oeil. Un nouveau vertige. Cela commençait à devenir dangereux. Il fallait qu'elle mange quelque chose au plus vite. A cette heure-ci la cafettéria devait être ouverte maintenant. A cause de se tourni, elle ne fit pas vraiment attention au début de la phrase d'Hiromi et elle en était désolée. Ce n'était pas son genre de ne pas écouter les autres, sauf durant les émissions de télé lorsqu'on pausait des questions à d'autres célébrités.

"Si peut-être tu me drague déjà, essaye toujours de continue à me séduire demain matin lors de notre footing. Pour le moment, je crois que pour ma part je dois rentrer me mettre quelque chose sous la dent. Manquer un repas n'est pas bon pour moi. Je te dis alors à demain matin, à l'aube à l'entrée de l'école."

Suite à ses mots elle se leva doucement du banc, de peur d'avoir un nouveau vertige puis se commença à se diriger vers l'établissement. Elle se tourna au bout de quelques mêtres et fit face une dernière fois au garçon et lui fit signe de la main de loin avant de reprendre sa route en direction de la cafétéria. Elle passerait par sa chambre provisoir qu'apèrs avoir manger car se restaurer commencedr à devenir une urgence.

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