[Validée] Sylvanos Van Claddagh

Nom : Inconnu
Prénom : Inconnu
Âge : à en juger par son apparence, entre 15 et 17 ans …
Sexualité : Hétérosexuel
Origine(s) : Inconnu
Pouvoir(s) : Secret (Vous aurez la surprise en RP)


Caractère : Sylvanos est une personne charmante et fort sympathique. Il fais tout son possible pour être le plus serviable possible. Il est très attentionné et câlin auprès personnes qui lui sont proches.
La plupart du temps la présentation se feras tout en douceur et en sourires. Mais il révèleras rarement son nom où prénom, il se sans mal à l'aise quant il faut prononcer ceux-ci. Il n'en connais pas la causse mais il à chaque fois une sorte de nœud d'estomac au moment où ils les prononcent. Comme s'il mentait. Mais il n'y à aucune raison … il s'est toujours appelé comme ça non ? … Et encore une fois, quand il commence à plonger dans ses souvenirs une force psychique inconnue l'en empêche, dérivant le fil de ses pensées vers d'autres sujets. Il y à une chose que Sylvanos déteste par dessus tout c'est de rendre ou voir quelqu'un malheureux. Il est prêt à tout faire pour aider les autre, quelque sois la situation. Il essayera d'être toujours là quand vous aurez besoin de lui. Il aime aider les gent et n'hésite pas à mètre de coter ses propre exigence afin de répondre à celle des autres.
Il en faudra beaucoup pour énerver Sylvanos. Mais dire qu'il est calme serais une erreur car il s'inquiète facilement pour les autres … enfin si la situation deviens … dangereuse … son comportement peux en effet devenir très étrange … voir dénudé de sens du point de vue de son entourage. Mais il y à toujours une raison à ses actions. Sylvanos pourrai aussi être qualifié de … naïf. Il crois au bonheur, à l'amour éternel et que tout le monde possède en lui une part de gentillesse qu'il faux mètre en valeur au détriment de son mauvais coté. Si, par exemple, on le frape il encaissera sans riposter. Pour lui, en vouloir à quelqu'un, sans savoir si celui-ci est totalement mauvais reviendrais à abandonner une personne, dans un immeuble en flamme, qui à une chance d'être sauvé. Il rêve de changer la façon de penser des gens, en leur prouvent que leur bon coté vaux mieux que l'autre.


Physique : Sylvanos à les cheveux châtain, plutôt sombres. Ils ont toujours l'air un peux décoiffés. Sur le coté droit de son crane se trouve un petite mèche grise dont l'origine est une légère blessure. Mais on peux rarement la remarquer au premier regard car elle est cachée derrière la partie colorée de sa chevelure. Ses yeux sont marrons sur les quels apparaissent des reflets argentés à peine visible à la lumière du soleil.
Sa taille est juste au dessus de la moyenne. Son corps, lui, est plutôt faible. Il n'est pas bien gras mais pas musclé non plus. A vrais dire il fais partit de cette catégorie de gent très peux appréciée des " personnes mal dotée par la nature " qui au moindre petit gâteau sucré vois son pois fortement augmenter. Et oui, peux importe ce qu'il mange son corps n'en prendras pas compte mais il n'est pas non plus protégé des indigestions. Mais le problème est que cette propriété s'applique aussi à sa musculature, peux importe l'entrainement les muscles ne se développes pas. Voilà pourquoi son corps est faible. Il ne manqueras pas une occasion pour se faire une entorse et les points de coté ne manquerons pas. Pire, son système immunitaire est une vrais passoire. Il seras dans les premiers à être toucher par une épidémie ou encore il attrapera la fièvre de la personne dont il s'occupait. Mais heureusement son corps compense par une guérison très rapide et efficace. Ses articulation sont plutôt lex mais ne le voyez pas contorsionniste.
Sylvanos adore ce qui est coloré mais il n'ose jamais en porter sur ses vêtement autant qu'il le voudrait. Il s'est attaché un pack de cravates pour son uniforme scolaire. Un vingtaine de cravate où sur chacune d'elles se trouvent une rayure horizontale de couleurs différentes. Il en change tout les jours en fonction de son humeur et il lui arrive même par fois d'en changer en cour de journée. En dehors de l'école il porte le plus souvent un jean. Bleu, noir, gris, marron tout dépend de la couleur du T-shirt qu'il porte en même temps. Ses T-shirt son quasiment toujours d'une couleur unie. S'accompagne à l'ensemble un sweat colorée mais plus pale ou sombre que le T-shirt. En hiver il porte un grand manteau noir et une écharpe colorée.
Enfin il à toujours au doit de sa main droite un " Claddagh's Ring ". Cet anneau est symbole d'amitiés d'amour et de loyauté. Des mots qui le qualifie très bien. Il est dirigé vers extérieure de sa main. (A vous de chercher si vous voulez savoir ce que ça signifie ;)


Histoire : Mes mains étaient menottées. Mes poignets me faisaient souffrir. Mais cela ne transparaissait pas sur l'expression vide et sombre de mon visage. La douleur incandescente je la connaissais très bien, mon cœur s'était déjà consumé.
Un officier de police me tenait fermement. J'étais bien trop faible physiquement pour faire quoi que se soit. Il me fit m'assoir brutalement sur une chaise froide et inconfortable. Il m'attacha les mains au dossier de celle-ci.
Son collègue pénétra dans la petite pièce et dépouillée de couleurs et dont la seule ouverture sur l'extérieur était formée d'un grillage solide et dont les fils étaient faiblement espacés.
Je souris.
« Elle me ressemble cette pièce »
L'homme vint s'asseoir en face de moi. Nous étions seulement séparés par une large table, seul meuble de la pièce. L'autre policier passa le grillage, nous laissant seuls.
Je tournai la tête vers l'homme. Je ne le regardais pas … je regardais au travers. Comme pour fixer le mur qu'il cachait.
- Votre nom ? me demanda -t-il.
- Otono.
- Votre prénom ?
Je détournai ma tête.
- Votre prénom ? me répéta-t-il.
Je le regarda dans les yeux.
- Je suis né avant d'avoir un prénom.
- Et moi je vous le demande.
Il gardait son calme, c'était un bon flic. Je n'avais pas envie de l'énerver… mais j'avais envie qu'au moins une fois dans ma vie celle-ci se passe dans l'ordre.
- Je suis né le 25 septembre 1994. Dans une clinique au nord d'Okaïdo.
- J'allais vous poser cette qu…
- Et moi j'y répond maintenant. Elle m'a appelée "Raiu".
Raiu … l'orage, la foudre … et il a fallu attendre tout ce temps avant que je me rende compte avec quel impact ce nom avait ravagé ma vie…
- Sais tu pourquoi tu est ici ?
- …

J'ouvris rapidement la porte de la maison.
- Taaadaaaiiimaaa !
Je retirai mes chaussures, mit mes chaussons et franchis la marche de l'entrée.
- …
Surpris de ne pas recevoir de réponses de la part de ma mère je me dirigeai vers la cuisine… personne. Je sortis quelques biscuits du placard. Et commençai à grignoter.
J'entendis alors un bruis de verre brisé. J'accourus dans le salon. Une tasse de café était en morceaux sur le sol. Le liquide formait une mare brune sur le sol blanc. Deux hommes aux traits occidentaux étaient assis sur le canapé. Le visage inexpressif, le regard vide, ils étaient tournés vers ma mère. Elle était avachie sur une chaise, son visage cachée par ses longs cheveux, une lettre à la main. Ses épaules étaient agitées par des spasmes brutaux. Je vis des taches humides tomber sur l'enveloppe ouverte.
- Ma… maman ?
Elle poussa alors un gémissement atroce et cria le nom de mon père.
Un des hommes vint alors à moi. Sans un mot il m'attrapa par le bras, sans violence, plutôt avec doucleur. Mais je ne m'en rendais pas compte. Pour moi cet homme essayait juste de m'empêcher de consoler ma mère. J'essayai de me débattre mais rien y fit, il était bien plus fort que moi. Il me tira à l'extérieur de la pièce.
Je me suis couché se jour là en espérant m'en aller, partir, que ma vie ne soit qu'un simple rêve.

- Ho ! Raiu !
Je me retournai. Le centre commercial était bondé. Je tournai la tête dans toute les directions mais ne reconnus pas la personne qui m'avait appelée.
- Hey ! Ça faisait longtemps !
Une jeune fille s'approcha de moi.
- Tu te souviens de moi n'est-ce pas ?
J'examinai la fille pendant quelques secondes avant de la reconnaître.
- A… Alix ! C'est bien toi ?
Alix était ma camarade de collège, avant que ma mère ne me change d'école.
- Eu … j'ai appris pour ton père. Mes … mes condoléances.
- Ha … oui … merci.
J'étais troublé qu'on me parle de mon père. Ma mère évitait toujours le sujet depuis qu'elle était rentrée en dépression.
- Un accident de travail apparemment.
- …
- Mais … puisqu'il travaillait sur un projet secret de l'armée américaine … ils n'ont pas voulus nous dire les circonstances exactes de sa mort.
- Ça doit être … frustrant.
- C'est vrai, répondis-je en faisant une grimace.
Je me rendis compte que je la mettais mal à l'aise. Je voulus changer de sujet.
- Et sinon ? Toi … comment ça va ?
- Bien … rien de spécial.
Elle se détendu.
- Et toi ?
- Je fais les courses pour la semaine.
- Je vois que tu es devenu un homme responsable, me dit-elle en me faisant un clin d'œil.
- C'est surtout … que ma mère n'est pas trop en état de le faire. Depuis la mort de mon père elle fait une grande dépression. Les médecins lui ont prescrits des médicaments … mais ils ne font pas vraiment effet.
- Je suis désolée.
Elle s'inclina. Sa bonne humeur s'était envolée si rapidement. A cause de moi, encore une fois.
- Je … je suis désolé, je dois rentrer le plus vite possible.
- Je comprend … attend !
Elle farfouilla dans sa poche et sortit un bout de papier et un stylo. Elle inscrivit quelques chiffres et me tendit le papier.
- Tien ! Mon numéro. Appelle moi si tu a besoin d'aide … ou que tu veux simplement parler.
Elle me sourit et s'en alla. Je mis le mot dans ma poche et me dirigeai vers la pharmacie.

Ma mère entra dans ma chambre et vint s'asseoir sur mon lit.
- Raiu. Si tu ne te lève pas maintenant tu va arriver en retard au lycée.
- Mmmm… c'est bon maman, je me lève.
Elle m'embrassa sur la joue, passa la porte de la chambre et descendit.
Je sortit de mon lit et enfila mon uniforme.
J'entendis ma mère me crier :
- J'ai laissée du pain et de la confiture sur la table.
- Merci !
Je sortis de ma chambre et dévalai les escaliers. Je pris mon petit-déjeuner dans la cuisine. Quand je m'apprêtai à sortir ma mère me tendit un petit colis.
- Tu l'as enfin finit ?
- Oui … même si je m'y suis mis un peu trop tard à mon goût.
- …
- Ne t'inquiète pas, me rassura-t-elle avec un petit clin d'œil. Je désire du fond du cœur qu'elle me permette d'obtenir ce travail. J'y crois et je veux que ton père sois fier de moi.
Elle me fit un agréable sourire heureux.
- Il le sera maman, il le sera.
Je l'embrassai et sortis rejoindre Alix qui m'attendait dehors.
- Hohayo, me salua-t-elle.
- Ho… Hohayo.
Son regard se posa sur le paquet que je tenais dans la main.
- Qu'est ce que c'est, le désignant.
- La thèse de ma mère. Elle l'avait laissée tombée après la mort de mon père. Elle l'a reprise depuis s'en être remis. Mais … elle a été prise par le temps. Elle n'a pas pu la terminer totalement. Elle voudrait un poste dans un excellent hôpital de Finlande c'est pourquoi elle apprend le Finnois depuis cinq ans déjà.
- Elle y crois vraiment…
- Oui … c'est bien là le problème. Son rêve d'avoir une vie heureuse s'est déjà brisé une fois. Aujourd'hui elle veut que son mari sois fière d'elle … mais … je crois que ce rêve aussi va se briser.
- Ce serait vraiment horrible. Après tout le mal qu'elle s'est donnée.
- Oui … c'est là … que j'aimerais pouvoir réaliser son rêve. Pouvoir la rendre heureuse.
Au fur et à mesure que nous marchions nous avions atteint un boite au lettre.


Tout allait bien. La vie avait repris son cours. La mort de mon père n'était plus qu'un souvenir. Ma mère et moi nous étions relevés et nous avions su être heureux.
La thèse de ma mère avais été validée et elle avais pris l'avion hier midi. Et moi je faisais tranquillement mes achats pour décorer ma chambre du pensionnat. Je ne savais pas du tout parler Finnois et ma mère allait gagner bien assez d'argent pour me payer ce logement.
Soudainement mon téléphone sonna. Je le sortit de ma poche, décrochai et le posai contre mon oreille.
Je n'eu pas le temps de parler qu'on me posa une question.
- Êtes-vous bien Raiu Otono ?
- Ou … oui c'est moi.
- C'est au sujet de votre mère.
- Oui ?
- Elle à pris le vol LD1783, c'est bien ça ?
- Eu … oui si je me souviens bien. Mais … vous êtes qui ?
- … Je suis traducteur à la police nationale de Finlande.
- La police de Finlande ? Qu'es qui c'est passé ?
- Et bien … l'avion LD1783 s'est inexplica…
Je compris tout à coup et laissa tomber le téléphone.
- …ment crashé.
Le bonheur, l'humanité en moi disparut totalement. Comme si on l'avais … supprimé.

- TU M'ECOUTE ?!
Le cris du policier me sortit de mes souvenirs.
- E … excusez moi.
- Sais tu pourquoi tu est ici ? Répéta-t-il
- Euu…
- Irrespect de biens d'autrui, trouble à l'ordre publique, violence physique et verbale …
Cela ne m'importait plus. Le monde ne m'importait plus. Ma vie ne m'importait plus.