C'est d'un œil neuf que je contemplai ses même cerisier que lors de mes tout premier pas ici . tournant sur moi même pour mieux les admirer . Mon entrer dans ce pensionnat me revint en mémoire . Si timide et fragile a l'époque , j'avais bien évoluer depuis . Et ce grâce a tout les amis qui m'avait accueillie et traiter non pas comme un monstre mais une humaine . Je me demandais se qu'il était devenus . Était ils toujours ici ou bien était t'il partit ? Après mon départ , je n'avais plus eu de nouvelle . Évidement , se n'était pas facile de me contacter . A force de vivre dans se stupide cirque , j'avais perdu la notion du temps .
Mais quelle idée aussi d'aller te promener toute seule en dehors de l'école .
continuant mes remontrance intérieure , je me remémorait la scène . Moi marchant tranquillement sur le chemins , et mes anciens patron qui m'attendait tapis dans l'herbe . Il avait perdu tant d'argent quand j’étaie partit qu'il avait décider de me reprendre dans la troupe de grès ou de force . et comme une idiote , je n'avait rien vue venir . Que ce soit l'immense filet ou les voix étouffer qui normalement aurait du me parvenir . Je frottait mon bras . La douleur de la seringue remplit de sédatif ne m'avait toujours pas quitter . Et dire que je ne devait mon salut qu'à un stupide oublie de leurs par . un rictus mi-amuser mi-amère apparut sur mon visage . Les imbécile n'avait pas fermer la porte du camions , pensant que j’allai bien gentiment rester dans mon filet . évidement , j'avais profiter de cette occasion pour m'enfuir . Par précaution ,j'avais fait d'immense détour pour rentrer au pensionnat . Et me voila maintenant revenu en sécurité dans un endroit familier . mais même en sachant cela , l'inquiétude qu'ils me découvre résidait encore en moi .d'un geste de la mains je chassait mes souvenir et pénétrait dans l'imposant bâtiments , un air euphorique sur le visage .